Comme promis avant les vacances, je vous mets en ligne le corrigé de la réponse organisée du sujet P 172 – 173 de votre manuel de géographie. J’espère que de votre côté vous avez essayez de la rédiger. Pour le bac blanc, si vous choisissez l’ épreuve étude de documents » n’oubliez pas de bien vous appuyer sur le travail réalisé en 1ère partie pour concevoir votre réponse organisée. En 1ère partie, bien exploiter vos documents. Vous trouverez aussi sur la page Cap sur le bac » les deux croquis et leur légende sur l’Europe et l’organisation de l’espace rhénan. Corrigé réponse organisée la puissance de l’Union européenne et ses limites. L’Union européenne forte de ses 492 millions d’habitants et s’étendant sur km2 présente des caractères de puissance, en particulier économique. Si la puissance d’un espace est la capacité pour un acteur d’influencer le comportement d’autres acteurs, on peut s’interroger sur les caractères de la puissance de l’UE et sur ses limites ? L’Union européenne apparaît tout d’abord comme un pôle majeur de la Triade. Elle est le premier ensemble commercial de la planète avec près de 40% des exportations mondiales, devant l’Asie orientale et l’Alena. L’UE est ainsi le 1er exportateur mondial mais aussi le 2d importateur mondial. Les produits manufacturés représentent plus des ¾ du commerce de marchandises de l’UE. Elle occupe la première place dans les échanges internationaux de services devant les Etats-Unis. Il faut souligner que l’intensité des échanges intracommunautaires explique en grande partie cette puissance commerciale. En effet, 60% du commerce de l’Union se fait au sein de l’UE. Ce rôle joué dans les échanges internationaux lui permet d’exercer une influence majeure dans l’Organisation Mondiale du Commerce. De plus, l’UE est une puissance industrielle, Shell occupe le 3e rang mondial. L’industrie européenne couvre une large gamme de productions à la fois traditionnelles et nouvelles comme l’électronique ou l’aéronautique. Enfin l’UE est une puissance financière. Elle est le 1er émetteur et récepteur d’IDE dans le monde. Elle accueille 45% de l’investissement mondial, seulement 11% pour les Etats-Unis. Ainsi, l’importance des échanges commerciaux, le volume de production industrielle obligent l’UE à multiplier les accords commerciaux en particulier avec les pays du Sud. Elle y a établi des liens préférentiels et mis en place une politique de coopération au développement. Depuis 1995 et le processus de Barcelone, l’UE a renforcé ses liens avec les pays du Sud et de l’Est de la Méditerranée. En juillet 2008, a été engagé le projet Union pour la Méditerranée dans le cadre de la politique de européenne de voisinage qui vise à développer de grands projets dont la dépollution de la Méditerranée, une autoroute du Maghreb ou encore le développement de l’énergie solaire. Ce sont 5 à 6 milliards d’euros qui doivent y être investis chaque année. Des accords de coopération existent aussi avec les Etat de la zone ACP depuis la conférence de Cotonou au Bénin en 2000. Ces accords de développement ou de coopération avec les Etats du Sud permettent à l’Europe de renforcer ses positions commerciales à travers le monde. Mais la puissance de l’Union européenne connaît des limites de différentes natures. Les limites de la puissance de l’UE se trouvent d’abord dans son manque d’unité réelle et la faiblesse du budget consacré au secteur militaire et aux technologies spatiales. Le système de guidage européen Galileo » pouvait permettre à l’Europe de concurrencer le GPS américain. Mais à l’heure actuelle faute de financement, le projet est resté dans les cartons. De plus sur le plan international, l’UE est un nain politique ». Les Etats européens n’arrivent pas à parler d’une seule et même voix. Lorsque les Etats-Unis sont entrés en guerre en 2003 contre le régime de Saddam Hussein en Irak Français et Britanniques ont adopté des attitudes totalement antagonistes. La reconnaissance de l’indépendance du Kosovo n’est pas encore effective dans plusieurs Etats de la communauté dont en Espagne. Enfin les 27 Etats de l’UE ne présentent pas sur le plan économique le même visage et la crise vient renforcer le fossé entre une Europe occidentale riche, capable de se défendre contre ses effets dévastateurs et une Europe centrale touchée de plein fouet par le chômage et la récession. Par conséquent l’UE est une aire de puissance majeure sur le plan économique mais elle n’est pas une puissance complète au contraire des Etats-Unis.
Derniers documents du Conseil européenRetrouvez ici les documents adoptés lors des dernières réunions du Conseil européen 23-24 juin 2022 Conclusions du Conseil européen 30-31 mai 2022 Conclusions du Conseil européen 24-25 mars 2022 Conclusions du Conseil européen Où puis-je trouver les conclusions du Conseil européen?Les conclusions adoptées par le Conseil européen depuis 2004 peuvent être consultées dans le registre public des documents officiels. Conclusions du Conseil européen de 2004 à aujourd'hui Les conclusions adoptées avant 2004 peuvent être consultées en cliquant sur les liens ci-dessous. Conclusions du Conseil européen 1993-2003 Conclusions du Conseil européen 1975-1992 Veuillez noter que les conclusions du Conseil européen ne sont disponibles que dans les langues des pays qui étaient des États membres de l'UE à la date concernée. En quoi consistent les conclusions du Conseil européen? Les conclusions du Conseil européen sont adoptées au cours de chaque réunion du Conseil européen. Calendrier des réunions du Conseil européen Elles traitent de sujets qui préoccupent particulièrement l'UE et exposent les mesures spécifiques à prendre ou les objectifs à atteindre. Les conclusions du Conseil européen peuvent également fixer la date limite à laquelle un accord devra intervenir sur un point particulier ou à laquelle une proposition législative devra être présentée. De cette façon, le Conseil européen est en mesure d'influencer et d'orienter le programme d'action de l'UE. Fixer le programme stratégique de l'UE Comment les conclusions du Conseil européen sont-elles adoptées? Avant la réunion du Conseil européen, le président du Conseil européen rédige un premier projet et des révisions textes sont ensuite examinés par les représentants permanents des États membres à Bruxelles Coreper II et par les ministres des affaires européennes réunis au sein du Conseil des affaires générales, puis adoptés lors de la réunion du Conseil européen. Coreper II Conseil des affaires générales CAG Les conclusions sont adoptées par consensus entre tous les États membres de l'UE. Comment fonctionne le Conseil européen Cela signifie qu'une bonne partie des conclusions est approuvée avant la réunion, ce qui permet aux dirigeants de se concentrer sur la résolution des questions en suspens lors de la réunion. Réunions informelles ou extraordinairesLe Conseil européen tient aussi des réunions informelles ou extraordinaires des chefs d'État ou de gouvernement,à la suite desquelles les dirigeants adoptent en règle générale une déclaration plutôt que des conclusions officielles. Ces documents ne sont pas disponibles dans le registre public. Ceux qui ont été adoptés depuis 2004 peuvent être consultés en cliquant sur le lien ci-dessous Documents informels ou exceptionnels du Conseil européen
Retrouveztoutes les pièces de 2 euro commémorative. Belgique en version colorisée. Les monnaies sont livrées sous capsules . Affichage par page. Trier par. 1 - 50 sur 85 résultats: 1; 2 > 2 euro Belgique 2005 Union économique couleur 1. Union économique belgo luxembourgeoise. 38,95 € En stock Ajouter au panier 2 euro Belgique 2005 Union économique couleur 2. Union
La poursuite de l’expansion L’euro devient la nouvelle monnaie de millions d’Européens. Le 11 septembre 2001 devient synonyme de terrorisme international, après le détournement de deux avions de ligne, qui s'écrasent contre des immeubles à New York et Washington. Les pays commencent à coopérer plus étroitement pour lutter contre la criminalité. La page des divisions entre Europe de l’Ouest et Europe de l’Est est tournée lorsque 10 nouveaux pays adhèrent à l’UE en 2004, suivis de la Bulgarie et de la Roumanie en 2007. Une crise financière frappe l’économie mondiale en septembre 2008. Le traité de Lisbonne dote l’UE d’institutions modernes et de méthodes de travail plus efficaces. 26 février 2001 – Traité de Nice Les dirigeants de l’UE signent le traité de Nice. Ce traité vise à réformer les institutions afin que l’UE puisse fonctionner efficacement à 25 et se préparer au prochain grand élargissement. Il entre en vigueur le 1er février 2003. 11 septembre 2001 – Attaques terroristes aux États-Unis Deux avions de ligne sont détournés et percutent les tours jumelles du World Trade Center à New York, ainsi que le Pentagone à Washington. Près de 3 000 personnes perdent la vie. Les pays de l’UE se tiennent fermement aux côtés des États-Unis dans la lutte contre le terrorisme international. 1 janvier 2002 – Lancement des billets et pièces en euros dans 12 pays Les billets et les pièces en euros deviennent la monnaie légale dans 12 pays de l’UE la Grèce a rejoint la zone euro en 2001 et d’autres pays lui emboîtent le pas après 2002. L'impression des billets, la frappe des pièces et leur distribution représentent une opération logistique majeure. Les billets sont les mêmes dans tous les pays. Les pièces ont une face commune et une face arborant un emblème national. 31 mars 2003 – Opérations de maintien de la paix dans les Balkans Dans le cadre de sa politique étrangère et de sécurité, l’UE prend part à des opérations de maintien de la paix dans les Balkans, d’abord dans l’ancienne République yougoslave de Macédoine aujourd’hui la Macédoine du Nord, puis en Bosnie-Herzégovine. Dans les deux cas, des forces placées sous la direction de l'UE remplacent les unités de l’OTAN. 1 mai 2004 – 10 nouveaux pays Chypre et Malte adhèrent à l’UE aux côtés de 8 pays d’Europe centrale et orientale — Tchéquie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Slovaquie et Slovénie —, mettant fin à la division de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale. 29 mai-1 juin 2005 – Constitution de l’UE Les électeurs français et néerlandais rejettent le traité établissant une Constitution pour l’Europe, signé par les 25 États membres de l’UE en octobre 2004. 1 janvier 2007 – L’UE accueille la Bulgarie et la Roumanie Deux autres pays d'Europe orientale, la Bulgarie et la Roumanie, rejoignent l'UE, portant le nombre d'États membres à 27. 13 décembre 2007 – Traité de Lisbonne Les 27 pays de l'UE signent le traité de Lisbonne, qui modifie les traités précédents. Ce traité vise à rendre l’UE plus démocratique, efficace et transparente, afin qu'elle puisse relever les défis mondiaux tels que le changement climatique, la sécurité et le développement durable. Tous les pays de l’UE ratifient le traité, qui entre en vigueur le 1er décembre 2009. Septembre 2008 – Crise économique mondiale Une crise financière majeure touche l’ensemble de l’économie mondiale. Elle débute sur le marché des prêts hypothécaires aux États-Unis. Plusieurs banques européennes sont également en difficulté. La crise conduit à une coopération économique plus étroite entre les pays de l’UE. Informations complémentairesJacquesBarrot, Michel Roseau, Pierre Moscovici, Présidence française de l’Union européenne : Regards croisés, mai 2008, Concurrences N° 2-2008, Art. N° 16346, pp. 9
La vie politique française récente a été marquée par des tensions renouvelées autour du thème européen. Le président-candidat Emmanuel Macron s’est posé en hérault et en leader de l’Union européenne UE, en jouant à la fois de la continuité de son engagement sur le sujet et de la fenêtre d’opportunité communicationnelle offerte par la présidence française du Conseil de l’UE. Ses opposants ont exprimé à grand bruit des visions contrastées des fins et modalités de l’intégration, sans aller pour autant jusqu’à agiter la menace d’une rupture conduisant à un Frexit ». La dramatisation rhétorique de l’enjeu n’a pas suffi à en faire un paramètre décisif du choix des électeurs et des coalitions partisanes. Ces ambivalences françaises sur l’Europe ne sont ni nouvelles ni si singulières. Les Français sont parmi les plus critiques des peuples européens envers une UE jugée inefficace et distante sans que cela remette en cause leur soutien à son existence et à son renforcement. Cette adhésion diffuse et sélective à l’intégration se retrouve dans les autres États membres. Une étude publiée dans la revue Nations and Nationalisms offre un éclairage inédit en la matière à partir d’un sondage réalisé sur un échantillon représentatif de la population dans huit pays. L’enquête analyse la perception de l’UE à travers ses symboles. L’intérêt d’une telle approche par les symboles est d’observer plus concrètement comment les individus se réfèrent à l’Europe dans leurs expériences du quotidien. À titre d’exemple, le drapeau européen est largement connu et visible dans l’espace public ; il s’inscrit dans différents contextes qui motivent une grande variété d’interprétations ; enfin, il constitue un objet tangible qu’on peut brandir, brûler, dessiner ou reproduire digitalement sur Internet ou les réseaux sociaux. Les résultats de la recherche suggèrent l’existence d’un européanisme banal », qui fait écho au nationalisme banal » défini par les sociologues comme une identification non passionnée, ordinaire et profane à la nation et renforcée par l’immersion quotidienne et inconsciente dans une culture, une langue et un univers symbolique communs. L’ européanisme banal » demeure certes de basse intensité pour l’écrasante majorité de la population. Il ne s’appuie pas sur les mêmes processus de socialisation à la nation actifs dès l’enfance – de la famille à l’école en passant par les médias – pour forger les loyautés politiques des individus. Il reste dépendent du contexte et des variables socio-économiques les niveaux d’éducation, de revenu et d’internationalisation demeurant discriminants. Pour autant, les réponses des citoyens interrogés donnent à voir une accoutumance aux symboles de l’UE dont la présence est routinisée dans leur sphère d’expérience. L’exemple de l’euro est à cet égard le plus flagrant. Il en résulte une normalisation de ces symboles européens au sens où ils ne suscitent ni ardeur ni remise en cause particulières. L’UE en tant que niveau de pouvoir est prise comme un donné, davantage encore lorsqu’elle emprunte les emblèmes familiers qui sont ceux d’un État drapeau, monnaie, à un degré moindre hymne et devise que lorsqu’elle se donne à voir à travers des rôles politiques atypiques le président du Conseil européen » ou des lieux de pouvoir perçus comme étrangers les capitales européennes » Bruxelles et Strasbourg constituant les symboles les moins positifs. La série Parlement France TV illustre particulièrement bien les situations parfois kafkaïennes du parlement européen. Ce constat contredit les mises en garde contre l’affichage d’un super-État » européen qui concurrencerait les États nationaux en leur ressemblant trop et susciterait la défiance des citoyens. Une conflictualisation de l’enjeu européen réduite aux élites ? La relative indifférenciation par en bas des symboles européens contraste avec leur politisation périodique par en haut, lorsqu’ils deviennent objets de polémique électorale. Cela questionne la représentativité sociale des luttes discursives entre élites à propos par exemple de la présence du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe le 31 décembre 2021. Parler d’ européanisme banal » ne revient pas à nier la conflictualisation de l’enjeu européen, qui s’inscrit dans celle des identités en général. L’acceptation, souvent passive et par défaut, de l’arrière-plan européen ne postule pas qu’il fait consensus, mais qu’il est entériné comme l’une des arènes – et parfois l’un des enjeux – du dissensus. Ce détour par les symboles rejoint le constat des autolimitations que s’imposent les forces politiques les plus critiques de l’intégration européenne, de l’extrême droite à l’extrême-gauche et la thèse de son incorporation et de son instrumentalisation dans les programmes et stratégies de chaque parti. Ainsi lors de l’élection présidentielle française en 2022, la revendication d’une sortie explicite de l’UE ou de l’euro a été remplacée par l’annonce d’une désobéissance ou d’une modification interne aux règles européennes. Tout se passe comme si les contempteurs les plus acharnés de l’Europe n’étaient eux-mêmes pas exempts d’une forme d’ européanisme banal », même s’ils continuent à frapper d’anathème ses emblèmes… ou à se les réapproprier, ce qui marque une forme de reconnaissance. Prudence et instrumentalisation Au final, l’étude des perceptions de l’UE au prisme de ses symboles interroge la pertinence tant d’une prudence ils ne sont pas si fragiles que d’une instrumentalisation ils ne sont pas si puissants excessives dans les usages de ces derniers. En termes politiques, l’existence d’un européanisme banal » n’est pas synonyme d’un consensus permissif donnant latitude aux élites de poursuivre une intégration supranationale en marge des circuits de la démocratie représentative. Les citoyens ayant adopté l’usage de l’euro n’acceptent pas nécessairement la politique d’austérité qui l’accompagne. L’adhésion aux symboles d’une Europe sans frontière n’exclut pas la dénonciation des effets prêtés à cette dernière en termes de migrations ou de concurrence déloyale des travailleurs détachés sur le marché du travail. La politique nationale est l’objet d’une féroce compétition pour en définir les finalités et les modalités sans pour autant que son contenant la nation soit – sauf exceptions – mis en cause. De même, la politique européenne semble aujourd’hui suffisamment enracinée pour être redevable du débat démocratique.
Piècede 2 euros de 2008 Présidence Française Union Européenne R.F avec faute de frappe d’une valeur inestimable . Posted on 25 juin 2019 / / par Publié: 25 juin 2019 (il y a 3 ans ) Categorie. C - Monnaie Euros. Piéce très rare. Pour vrai collectionneur. Voir les infos du contact . Le site du collectionneur. Conseils pour acheter ou vendre ses objets de collection, valeur selon Enseignements élémentaire et secondaire ACTIONS ÉDUCATIVES EUROPÉENNESPrésidence française de l’Union européenne 2008 des actions éducatives en direction des élèvesNOR MENE0800128C RLR 557-2 CIRCULAIRE N° 2008-019 DU 5-2-2008 MENDGESCO - DREICTexte adressé aux rectrices et recteurs d’académie ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation nationale ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, inspectrices et inspecteurs pédagogiques régionaux ; aux inspectrices et inspecteurs chargés des circonscriptions du premier degré ; aux directrices et directeurs d’école ; aux principales et principaux ; aux proviseures et proviseurs La France assurera la Présidence du Conseil de l’Union européenne du 1er juillet au 31 décembre 2008. Dans ce cadre, le ministère de l’éducation nationale en lien avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche aura la responsabilité du Conseil Présidence 2008 de l’Union européenne sera l’occasion pour le ministère de l’éducation nationale de - faire progresser la construction de l’espace européen de l’éducation et de la formation professionnelle ; - faire découvrir les systèmes éducatifs des autres pays européens ; - faire mieux connaître dans l’ensemble du système d’éducation les enjeux et les réalisations de l’Union européenne dans ce champ ; - faire découvrir les cultures des États membres de l’Union européenne à travers des rencontres et des échanges ministère de l’éducation nationale organisera à Paris et en régions cinq conférences nationales autour des thèmes suivants l’orientation, l’apprentissage des sciences et les indicateurs de performance ces trois manifestations en partenariat avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, la scolarisation des élèves handicapés et la gouvernance des ministère de l’éducation nationale organisera aussi en régions en partenariat avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche trois réunions de niveau gouvernemental, notamment le Conseil informel des ministres consacré à la formation plan local, les établissements scolaires sont invités à mettre en place, selon des modalités qu’il revient aux équipes éducatives de proposer, des actions pédagogiques en direction des élèves autour de deux moments forts - la rentrée scolaire, du 2 au 5 septembre 2008, qui pourra prendre, dans chaque établissement, la forme d’une rentrée aux couleurs de l’Europe pavoisement des établissements, signalétique dans les langues vivantes européennes enseignées dans l’établissement, événementiel spécifique, information aux élèves et aux parents ; - une semaine de “l’Europe à l’école” qui se déroulera dans les écoles, les collèges et les lycées, du 20 au 24 octobre 2008. Il s’agira, en particulier à l’occasion de cette semaine, de faire vivre l’école, les enseignants et les élèves à l’heure de l’Europe des semaine de l’Europe à l’école doit être l’occasion pour les équipes enseignantes d’intégrer des thématiques européennes aux enseignements et d’ouvrir certaines activités pédagogiques ou éducatives à la dimension européenne à partir de choix faits par l’établissement. Les établissements scolaires pourront utilement s’inspirer des thèmes suivants S’agissant du premier degré cycles 2 et 3, dans le cadre de l’apprentissage de la langue et plus particulièrement de l’apprentissage de la lecture, lire intégralement un poème, un conte, un récit appartenant à la littérature de jeunesse traduit d’une des langues européennes. À cet égard la sélection des 250 œuvres de littérature de jeunesse publiée par la direction générale de l’enseignement scolaire offre un premier éventail de du collège, dans le cadre de la découverte des métiers comme préalable indispensable à la construction du projet d’orientation de l’élève, consacrer les 3 heures hebdomadaires de l’option “découverte professionnelle” offerte dans tous les collèges depuis la dernière rentrée à la découverte des métiers en Europe et à la mobilité professionnelle dans l’espace européen. S’agissant du lycée, dans le cadre de la préparation à l’enseignement supérieur et à la mobilité des étudiants, demander à des étudiants ayant bénéficié du dispositif Erasmus de venir témoigner devant les lycéens des classes de première et manière plus transversale - construire la progression des enseignements sur l’année de manière à ce que les occurrences européennes contenues dans les programmes soient étudiées cette semaine là ; - organiser, à partir de la ressource existante en établissement, pour chaque classe, un cours relevant d’une discipline non linguistique dans l’une des langues vivantes étrangères et européennes étudiées ; - demander à chaque élève de la classe, à partir d’une petite recherche personnelle, d’exposer devant le reste de la classe ce qu’est être un écolier dans l’un des 27 pays de l’UE ou dans l’un des pays candidats à l’entrée ; - dans le cadre de l’enseignement de français, travailler sur les mots migrateurs à partir d’un choix de mots dont l’étymologie permet de voyager en Europe ; - dans le cadre de l’enseignement de l’histoire-géographie, choisir de suivre un fleuve traversant plusieurs pays outre, des opérations récurrentes qui se déroulent traditionnellement chaque année comme la “Fête de la science”, “la Journée des Langues”, “Lire en fête”, la “Semaine du goût”, le “Goncourt des lycéens”, pourront à cette occasion être “habillées aux couleurs de l’Europe” Des “kiosques Europe” pourront être mis en place dans les centres de documentation et d’information CDI des collèges et des lycées ainsi que dans les bibliothèques et centres de documentation BCD des écoles primaires, afin de valoriser les projets européens existants ou envisagés dans l’établissement, en s’appuyant largement sur tous les supports électroniques les initiatives pourront être encouragées, dans le respect de la pluralité des opinions. Notre présidence devra être l’occasion de mettre en valeur l’ouverture européenne inscrite dans les projets de chaque académie, en particulier toutes les formes d’échanges d’élèves, de professeurs, de personnels administratifs, d’encadrement, d’inspection ou de direction, avec les pays de l’Union européenne. À cet effet, il conviendra de développer très largement l’information sur l’ensemble des programmes européens destinés à encourager la coopération européenne dans le domaine de l’éducation et de la formation tout au long de la vie Comenius, Léonardo, Erasmus, académies sont invitées à élargir leurs partenariats existants à d’autres pays de l’UE, particulièrement en direction des nouveaux entrants. Chaque établissement est encouragé à nouer des liens éducatifs avec un établissement d’un des 27 pays de l’UE, au besoin en s’appuyant sur le réseau des établissements français présents dans le pays, avec le soutien de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger AEFE. À cette occasion, des élèves étrangers, “Jeunes Ambassadeurs” pourront venir en France rencontrer des élèves français dans leurs de la communauté éducative pourra être mobilisée. Les recteurs sont invités à mettre en synergie l’ensemble des réseaux sous leur responsabilité DAREIC, DAAC, DAET, DAFCO, DRONISEP, chargés de communication ..., afin de mener à bien ces multiples opérations qui seront autant d’occasions de démontrer la réalité de l’Europe dans notre système ministre de l’éducation nationaleXavier DARCOShaut de page Lorsde la conférence de presse du Président de la République, consacrée à la PFUE le 9 décembre 2021 à l’Élysée, le secrétaire d'État chargé des Affaires européennes, Clément Beaune, a souhaité rappeler le caractère européen de cette nouvelle pièce de 2 euros, qui célèbre l'anniversaire de la monnaie unique : « 2022 marque les 20 ans de l'Euro. Les Français comme Un recours a été introduit devant le Tribunal de l’Union européenne pour obtenir l’annulation du règlement instaurant le passe sanitaire européen, selon le site de cette juridiction et un document du Conseil de l’UE. Les plaignants, qui sont seulement identifiés comme Abenante et autres », ont déposé ce recours le lundi 30 août contre le Conseil -institution représentant les Etats membres- et le Parlement européen, qui ont approuvé le règlement instaurant le Certificat Covid numérique de l’UE », entré en vigueur le 1er juillet. Ces certificats, mis en place pour faciliter les déplacements dans l’UE malgré la pandémie, attestent qu’une personne a été vaccinée contre la Covid-19, qu’elle a passé un test négatif ou qu’elle est immunisée après une infection. Ils doivent permettre d’éviter de faire des quarantaines dans les pays de destination. Un document du Conseil, adressé aux ambassadeurs des Vingt-Sept réunis mercredi, fait état de ce recours devant la justice européenne. Selon le site d’information Contexte qui a publié le contenu de ce document d’accès restreint, les plaignants estiment que l’exigence de test ou de vaccination pour la délivrance d’un certificat Covid de l’UE revient à imposer des traitements médicaux invasifs », et viole aussi la Charte des droits fondamentaux. Ils demandent l’annulation de la totalité du règlement, ou au moins la partie concernant les tests et la vaccination, et en attendant la décision de la justice européenne sur le fond, réclament une suspension immédiate des dispositions contestées. RG9L1.